(...)Il faut aussi considérer ceci :
quel citoyen, quel juge, quel conseiller, quel ami, ou finalement quel
homme serait un pareil individu ? devant quels forfaits reculerait-il,
lui qui ne regarde rien comme vraiment mal ou honteux, juste ou injuste.
Car qu’on n’aille pas dire que ces gens-là craignent les lois et les
châtiments, avec l’insensibilité
et l’ataraxie dont ils se targuent.